Gilles Villeneuve

On court à Montréal, sur l'ile de Nôtre-Dame. Un tracé très neuf, tiré sur routes urbaines. Jarier, un foudre avec la Lotus, va tout de suite en tête. Au 5ème tour, Andretti et Watson entrent en collision. Pour la deuxième place Jones, Schekter et Villeneuve se battent. L'homme de la Ferrari dépasse Jones au 19ème tour: plus tard il dépasse aussi Scheckter qui a des problèmes aux freins. Après quarante tours la marge de Jarier commence à diminuer pour une perte d'huile dans le système de freinage. Au 49ème tour avec le grondement de soixante-mille personnes, Villeneuve va à la commande. Vingt-un tours manquent à la fin: la Ferrari numéro 12 semble n'avoir pas de problèmes. En réalité pendent les derniers tours Gilles sente des bruits étranges qu'il le préoccupe beaucoup mais la voiture tient et le canadien gagne son premier Grand Prix. "Finalement j'ai rompu la glace - il dit - il fallait cette victoire après beaucoup de délusions depuis une année. Ca ce le jour le plus heureux de ma vie." A la deuxième place il y a Scheckter, proche à la Ferrari, puis à la troisième Reutemann, déjà allé en Ferrari.

Le vendredi la Tyrrell de Pironi perd le pneu postérieur gauche. La voiture démolit mètres et mètres de clôture. Didier descende aidé par Jarier et Piquet, il dit qu'il est bien, puis il s'écroule à terre. Mais il n'a rien et il courra également. La Renault turbo de Jabouille conquiert la première pole position. Au deuxième tour, au début du virage Crowthorne, Jabouille, Scheckter et Villeneuve sont presque cote à cote au détachement. Le tour suivant la course est suspendu pour la pluie. Elle reprend après une demi-heure. Les deux nouvelle Ferrari T4 au début bondissent en tête. Scheckter a les pneus pour le sec. Villeneuve les rain. L'asphalte est mouillé et Gilles prend tout de suite la commande; mais peu après la piste commence à se sécher et Scheckter avec les slick, exactement, court mieux que les autres. A ce point le canadien doit s'arrêter aux box pour monter à son tour les pneus pour le sec. Il rentre en piste en deuxième position tout de suit au derrière de son compagnon Scheckter lequel pour prouver à le surveiller, agite un pneu pendent un brusque coup de frein. Lui aussi, il doit s'arrêter aux box et Gilles reprend la commande. La course n'a plus d'histoire. Villeneuve ralentit pendent les derniers tours ma il coupe l'arrivée victorieux avec quatre seconds de marge. C'est un doublet fantastique devant les tribunes pleines de fans de la Ferrari.

Villeneuve obtient la pole position et il a été aussi le plus rapide dans l'êpreuves libres du matin. Sa T4 a pneu moues, choix pas partagée par son compagnon Scheckter. Après le tour de reconnaissance Gilles arrive sur la ligne de départ: il ne voit ni drapeaux ni commissaires et en croyant de devoir faire encor un autre tour, il continue lentement en se trainant au moins la moitié de le déploiement. Cette petite plaisanterie coute une amende de trois-mille dollars. Au début l'habituel Villeneuve bondit en tête, pendant que par la quatrième file vient très bien Jarier sur Tyrrell. Scheckter se batte avec le français et il réussit à le dépasser seulement au 27ème tour. Maintenant sont première et deuxième. Quand le drapeau à carreaux se baisse. Gilles a 30 seconds sur Jody avec problèmes aux pneus de mélange trop dure. Par derrière des deux de la Ferrari Andretti, Depailler et Jarier se battent mais Jones sur Williams réussit à s'adjuger la troisième place. Le comment du canadien sur sa course est synthétique: "Je n'ai eu aucun problème."

À cinq minuits par la fin des épreuves, Piquet arrache à Villeneuve la deuxième position sur la grille de départ. Le matin de la course les mécaniciens substituent le moteur sur la voiture de Gilles. Le signal de départ est donné sous l'eau battant et pour trente-un tours la Ferrari numéro 12 conduit suivie par la Williams de Jones. Puis la pluie finit et les pilots s'arrêtent pour passer par les pneus rain aux slick. Les mécaniciens Ferrari emploient 17 seconds, ceux de la Williams 31. Quand il reparte, Jones a le pneu postérieur droit pas bien serré et de fait il la perd. On est au 36ème tour et la course n'a plus d'historie: Villeneuve gagne facilement: "Je regrette pour Jones - Gilles dit - mais aujourd'hui il n y avait rien à faire parce que la voiture n'allait bien." Grande remontée pour Scheckter lequel après être parti 16ème avait été à la deuxième place, mais puis l'éclatement d'un pneu le mette dehors la cours. Villeneuve conquiert le titre de vice-champion du monde, la saison de la Ferrari a été parfaite.

Le rendez-vous à Monaco est beaucoup particulier. Gil s'engage comme toujours à la maxime et il signe le deuxième temps, à 78 centièmes par Piquet. Le brésilien de la Brabham reste en tête pour cinquante-deux tours mais au 53ème frappe au virage du "Bureau de Tabac". Un instant et Jones passe en tête; mais l'australien a problèmes d'alimentation et il s'arrête aux box en espérant de résoudre tout avec un peu d'essence en plus. Quand il repart a encore un certain avantage, sept seconds. Est-ce qu'il arrivera? Non, il n'y arrive pas. À sept tours par la fin, Villeneuve est à six seconds, après un autre tour le détachement se réduit à cinq seconds. À cinq tours par l'arrivée, Villeneuve dépasse la Williams de Jones au début de la "Ste. Dévote" en provoquant l'enthousiasme de tout le publique, mais aussi des millions de sportives qui étaient devant la télé. Il n'y a pas des problèmes jusqu'à la fin pour la Ferrari vainqueur propre sur le circuit moins favorable aux moteurs turbo. C'est la première victoire en Europe de Gil qui coupe l'arrivée particulièrement prouvé entre larmes de joie de ses mécaniciens. C'étaient 601 jours que la Ferrari ne gagnait un Grand Prix.

Le chef d'œuvre de Gilles Villeneuve. En tête pour soixante-six tours, il ne fait aucune erreur, même s'il était pressé par Laffite archiconnu comme le "mâtin" et au derrière il y a Reutemann, Watson et a la fin De Angelis aussi. Un gros serpent de cinq voitures. Villeneuve a le moteur le plus puissant, mais la voiture peu maniable. Il n'y a pas moyen de dépasser la Ferrari, très rapide sur le rectiligne, mais pas autrement en virage où le carences du châssis l'obligeant à procéder lentement. Jones en tête va en dehors de la route dans les premiers temps en faisant une erreur de guide. L'australien rentre, mais Villeneuve (parti par la quatrième file) est désormais prêt à prendre le commande suivi par les autres voiture. Tour croient que c'est seulement pour quelque tour et que, tôt ou tard, la Talbot Ligier de Laffite, qui le suive roue dans roue, le dépassera. Le pilot français essaye beaucoup de fois de le dépasser mais sans faire aucune incorrection, Gilles le tient toujours au derrière. Le duel a tons enthousiasmants, d'haute guide. Après la course un Villeneuve épuisé commente: "C'était très, très dur."